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QUI PEUT CONSULTER?

Consulter un psy c'est tout simplement d'abord prendre son téléphone et appeler, ensuite les choses se font tout simplement.

 

On le fait parce que les amis, la famille, les livres, internet ne suffisent pas, et que dans sa tête ou son corps quelque chose ne cesse de peser, questionner, irriter, angoisser, de se répéter malgré tout, empoisonnant ou emprisonnant la vie.
 

C'est avoir l'idée que de rencontrer quelqu'un qui vous écoute peut ouvrir une voie, lorsque l'on est désorienté, cela peut permettre de s'entendre. Chacun le dit à sa façon.

 

Mais qui peut venir? Tout le monde, quel que soit l'âge, j'ai reçu et reçois des tout petits enfants de un an et demi, deux ans, avec leurs parents, des personnes de 80 ans, des adolescents, des enfants, des adultes.

 

Pour quel motif? Que ce soit des troubles du comportement ou des difficultés scolaires chez votre enfant, des difficultés relationnels, au travail, en amour, des angoisses ou un événement qui vous a traumatisé, une phobie, une tristesse qui vous dérange trop, ou au contraire une trop grande exaltation..., bref, tout ce qui vous semble impossible à supporter peut vous faire décider de venir, c'est à vous que revient la décision.

Mon cabinet est une adresse pour toute personne qui pense qu'il y a quelque chose à comprendre dans ce qui lui arrive ou arrive à son enfant, qui cherche un lieu autre, un lieu pour soi tout seul où l'on rencontre quelqu'un qui occupe cette place, celle d'être celui qui peut vous recevoir, vous et ce qui fait votre difficulté à vous, ou votre enfant, qui ne vous confond pas dans la masse des autres, qui s'attache à ce qui vous est spécifique. Quelqu'un qui ne vous appliquera pas un protocole tout fait, mais vous permettra de parler librement, sera point d’appui pour nommer votre souffrance, isoler sa cause et la traiter.

C'est d'être orienté par la psychanalyse qui offre cette possibilité de renouer avec cette part de soi qui d'avoir été refoulée devient étrangère à soi-même. Parler, retrouver les fils d son histoire est un temps du parcours, mais les fils de mots ne vont pas sans leur effet sur le cors, car les mots nous frappent, qu'ils soient dits ou tues, ils créent une marque indélébile, qui fait trauma inscrit dans le corps et qui résonne lorsque l'on parle. Cette marque fait souffrance mais paradoxalement elle est aussi ce qui est le plus intime de nous mêmes, ce à quoi l'on tient le plus, comme un toxique auquel on se soumet. Jacques Lacan l'a nommé Jouissance. Nous sommes êtres de paroles mais aussi de jouissance. C'st ce que l'expérience d'une psychanalyse révèle si l'on en a le désir.

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